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La définition que donne l'UNESCO de la culture est la suivante

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30032011

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La définition que donne l'UNESCO de la culture est la suivante  Empty La définition que donne l'UNESCO de la culture est la suivante




« La culture, dans son sens le plus large, est considérée comme l'ensemble des traits distinctifs, spirituels et matériels, intellectuels et affectifs, qui caractérisent une société ou un groupe social. Elle englobe, outre les arts et les lettres, les modes de vie, les droits fondamentaux de l'être humain, les systèmes de valeurs, les traditions et les croyances.»
La définition que donne l'UNESCO de la culture est la suivante  120px-Brueghel-tower-of-babel
Au plan individuel, la culture est l’ensemble des connaissances acquises, l’instruction, le savoir d’un être humain.

Au plan collectif, la culture représente également l’ensemble des structures sociales, religieuses, etc., et les comportements collectifs tels que les manifestations intellectuelles, artistiques, etc., qui caractérisent une société.

La culture comprend ainsi trois grands groupes de manifestations : l’art, le langage, la technique.

Par extension, en éthologie animale et humaine, la culture désigne tout comportement, habitude, savoir, système de sens ? (en anthropologie) appris par un individu biologique, transmis socialement et non par héritage génétique de l’espèce à laquelle appartient cet individu.

La culture se définit de cette manière et comme un ensemble de connaissances transmis par des systèmes de croyance, par le raisonnement ou l’expérimentation, qui la développent au sein du comportement humain en relation avec la nature et le monde environnant. Elle comprend ainsi tout ce qui est considéré comme acquisition de l’espèce, indépendamment de son héritage instinctif, considéré comme naturel et inné. Ce mot reçoit alors des définitions différentes selon le contexte auquel on se réfère.

===========

Définitions

Selon Geert Hofstede : la culture est une programmation mentale collective propre à un groupe d’individu.


Étymologie

L’étymologie du mot culture, du mot latin colere (« habiter », « cultiver », ou « honorer ») suggère que la culture se réfère, en général, à l’activité humaine. Ce mot prend des significations notablement différentes, voire contradictoires, selon ses utilisations.

Le terme (latin cultura) suggère l’action de cultiver, dans le domaine de l’agriculture en particulier : cultiver des fleurs… Le terme de culture est également employé en éthologie. Cicéron fut le premier à appliquer le mot cultura à l'être humain : Un champ si fertile soit-il ne peut être productif sans culture, et c'est la même chose pour l'humain sans enseignement. (Tusculanes, II, 13).

Dans l’Histoire, l’emploi du mot s’est progressivement élargi aux êtres humains. On note que le terme culte a une étymologie voisine (latin cultus), et qu’il est employé pour désigner l’hommage rendu à une divinité.

Pluralité de définitions

Différentes définitions du mot culture reflètent les différentes théories pour comprendre ou évaluer l’activité humaine. En 1952, Alfred Kroeber et Clyde Kluckhohn ont écrit une liste de plus de 200 différentes définitions du mot culture dans leur livre Culture: a critical review of concepts and definitions.

La définition que peuvent en faire les gouvernements lorsqu’ils fixent sa mission au Ministère de la Culture diffère de celle que l’on en donne dans les sciences humaines, ou de celle qui correspond à la culture générale de chacun d’entre nous.

Culture individuelle et culture collective

En langue française, le mot culture désigne tout d’abord l’ensemble des connaissances générales d’un individu. C’est la seule définition qu’en donne en 1862 le Dictionnaire national de Bescherelle, et connaissances scientifiques y sont présentées au premier plan. C’est ce que nous appelons aujourd’hui la "culture générale".

Après le milieu du XXe siècle, le terme prend une seconde signification. Par exemple, le Petit Larousse de 1980 donne, en plus de la conception individuelle, une conception collective : ensemble des structures sociales, religieuses, etc., des manifestations intellectuelles, artistiques, etc., qui caractérisent une société. Le terme peut alors revêtir l’un ou l’autre sens, mais la proximité des domaines d’utilisation de chacun en fait une source d’ambiguïté.

Il se trouve qu’en langue allemande, la définition de la culture individuelle ou culture générale correspond au mot Bildung [2], et qu’il existe un autre mot, Kultur, [3], qui correspond à un patrimoine social, artistique, éthique appartenant à un ensemble d’individus disposant d’une identité. Ainsi, ce terme homophone, qui correspond plutôt en français à l’une des acceptions de civilisation, et par les échanges d’idées entre la France et l’Allemagne, s’est petit à petit amalgamé avec le sens initial du mot culture en français. Cette seconde définition est en train de supplanter l’ancienne, correspondant à la culture individuelle. Néanmoins, les dictionnaires actuels citent les deux définitions, en plaçant le plus souvent la culture individuelle en premier.

Il y donc actuellement en français deux acceptions différentes pour le mot culture :

la culture individuelle de chacun, construction personnelle de ses connaissances donnant la culture générale ;
la culture d'un peuple, l'identité culturelle de ce peuple, la culture collective à laquelle on appartient.
Ces deux acceptions diffèrent en premier lieu par leur composante dynamique :

la culture individuelle comporte une dimension d’élaboration, de construction (le terme Bildung est généralement traduit en éducation), et donc par définition évolutive et individuelle ;
la culture collective correspond à une unité fixatrice d’identités, un repère de valeurs relié à une histoire, un art parfaitement inséré dans la collectivité ; la culture collective n’évolue que très lentement, sa valeur est au contraire la stabilité, le rappel à l’Histoire.
C’est dans cette dichotomie que ces deux significations peuvent s’opposer :

La culture collective comporte une composante de rigidité pouvant s’opposer au développement des cultures individuelles, ou pouvant conduire à des contre-cultures, concept qui est inimaginable avec le sens individuel, la connaissance ne pouvant être que positive.

La science, toujours en évolution, n’est de ce fait pas raccrochée au concept de culture individuelle, dans les acceptions populaires, alors qu’elle en est une des composantes principales dans la teneur initiale du terme.

Mais c’est par l’art et l’histoire que les deux concepts se rejoignent. La culture individuelle inclut la connaissance des arts et des cultures, celle des différentes cultures humaines, mais bien évidemment celle affiliée à la culture (collective) à laquelle appartient l’individu.

C’est là le point d’amalgame entre les deux acceptions : la culture (individuelle) est comprise comme connaissance de la culture (collective) dont on dépend. Fusionnant ainsi deux acceptions différentes, le terme culture tend actuellement, en France, vers un compromis dans son acception courante, où il désignerait essentiellement des connaissances liées aux arts et à l’Histoire, plus ou moins liées à une identité ethnique.

Les deux sens doivent cependant être analysés distinctement : la culture collective et la culture individuelle se recoupent en réalité, non seulement par leur homonymie, mais aussi par l’appartenance d’un individu à une entité culturelle.

Langage courant

L’utilisation populaire du mot culture dans beaucoup de sociétés occidentales, permet de réaliser un classement de son caractère en fonction de la consommation de biens ou de l’exercice d’activités considérées comme élitistes : la cuisine, l’art, et la musique par exemple.

Types de composants

Une conception de la culture consiste à la regarder comme formée de quatre éléments qui sont « transmis de génération en génération en apprenant » [4] :

– les valeurs ;
– les normes ;
– les institutions ;
– les artefacts.
Julian Huxley donne une division légèrement différente, en mentifacts, socifacts et artifacts, pour des sous-systèmes idéologiques, sociologiques, et technologiques respectivement. La socialisation, du point de Huxley, dépend du sous-système de croyance. Le sous-système sociologique gouverne l’interaction entre les gens. Les objets matériels et leur utilisation forment le sous-système technologique[5].

En général, les archéologues se focalisent sur la culture matérielle, alors que l’anthropologie culturelle se focalise sur la culture symbolique, encore que in fine les deux groupes s’intéressent aux relations entre ces deux dimensions. De plus, les anthropologues conçoivent le mot "culture" pour se référer non seulement à la consommation de biens, mais au processus général qui produit de tels biens et leur donne une signification, et aux relations et pratiques sociales dans lesquelles de tels objets et processus sont imbriqués.

Les valeurs

Les systèmes de valeurs comprennent les idées sur ce qui semble important dans la vie. Elles guident le reste de la culture.

Dans le monde anglo-saxon, les valeurs mises en avant pour cimenter la culture collective sont souvent les croyances, généralement religieuses. Les États-Unis défendent la laïcité, encore qu’en pratique on y affiche beaucoup plus facilement sa religion qu’en Europe.

En France, il existe une certaine tradition de la laïcité, que l’on pourrait faire remonter au gallicanisme : Philippe le Bel, puis à la Pragmatique Sanction de Bourges. L’édit de Nantes fut également une façon de promouvoir la qualité de citoyen par rapport à celle de croyant, dissociant la sphère publique et privée. Bossuet contribua aussi à formaliser le gallicanisme. La Révolution française introduisit un statut civil équivalent pour tous les citoyens, indépendant des croyances ou appartenances religieuses. Le sentiment de laïcité culmina en France au tournant du XIXe et du XXe siècle, avec la loi du 9 décembre 1905 de séparation des Églises et de l'État (voir laïcité en France).

La France est un pays qui serait plutôt de tradition catholique, où se côtoient les grandes religions monothéistes que sont le christianisme, l’islam (de plus en plus présent) et le judaïsme, toutes trois des religions abrahamiques. On retrouve cette présence des trois religions monothéistes dans toute l’Europe. Il y a aussi des bouddhistes, ou d’autres croyances d’origine asiatique ou africaine.

Les normes

Les normes sont constituées par les attentes sur la façon dont les personnes doivent se comporter dans diverses situations. Chaque culture a des méthodes, appelées sanctions, pour imposer ses normes. Les sanctions varient avec l’importance de la norme ; les normes qu’une société impose formellement ont le statut de lois.

On notera qu’en France, la langue française a le statut de langue officielle, et qu’à ce titre, elle est la langue de l’administration et du droit.

Aux États-Unis, il existe une tradition normative très importante en matière industrielle et financière. Les normes comptables en Europe sont actuellement assez largement inspirées des normes américaines.

Les institutions

Les institutions sont les structures de la société dans lesquelles les valeurs et les normes sont transmises.

On a vu que, dans le cas de la France, la défense de la langue fut prise très tôt en charge par le souverain, François Ier pour le statut de langue officielle du français (1539), Richelieu pour l’Académie française. De là est née, en France et dans la plus grande partie de l’Europe, une tradition qui lie la culture avec les institutions publiques.

Aux États-Unis, il n’existe pas une emprise aussi importante de la puissance publique sur la culture proprement dite. De nombreuses grandes entreprises ont des collections d’œuvres d'art telles qu’elles ouvrent des musées privés par exemple (musée Guggenheim, les grands musées comme le Metropolitan…). Aux États-Unis, l’internet comme véhicule culturel (sa vocation première était militaire) est géré par des systèmes de propriété intellectuelle très élaborés, dans la tradition américaine (Thomas Jefferson). L’industrie du cinéma est privée. L’emprise de l’État américain est en revanche très forte dans les secteurs militaire et informatique.

En France, la grande majorité des institutions culturelles sont publiques : académies (on l’a vu), musées, bibliothèques, médiathèques, conservatoires, salles de concert et de théâtre, opéras, Maisons des jeunes et de la culture. La France est l’un des seuls pays où il existe un ministère de la Culture. L’État prend en charge les questions de francophonie, qui sont dans les prérogatives de l’administration (ministère de la Culture, délégation au développement durable…).

On retrouve un schéma assez voisin dans les autres pays européens, même s’il est moins accentué : au Royaume-Uni par exemple, les salles de concert (Royal Albert Hall…), les orchestres, les musées, sont publics. De ce point de vue, le Royaume-Uni se distingue des États-Unis, les traditions culturelles étant assez distinctes, malgré une langue commune.

En France, on trouve quelquefois aussi des institutions privées (châteaux privés, écomusée d'Alsace, le Puy du Fou) qui sont issus le plus souvent d’initiatives régionales, même si leur rayonnement est souvent national. Depuis une trentaine d’années les collectivités locales (communes, départements et régions) se sont dotées de leur propre politique culturelle et jouent un rôle essentiel dans l’animation et la régulation de la vie culturelle locale. Ces politiques, souvent menées en partenariat avec les services de l’État, participent de plusieurs logiques : facilité l’accès à la culture du plus grand nombre, soutenir la création et les artistes, contribuer au développement économique et renforcer l’image des collectivités locales.

La culture fait maintenant partie des responsabilités de l’Union européenne, dans le cadre des principes de subsidiarité. En particulier, l’Union européenne doit veiller à l’application de la politique linguistique européenne, qui pose certaines difficultés de mise en œuvre.

On a ainsi deux modèles assez distincts : le modèle américain, caractérisé par une alliance forte entre public et privé (où le privé joue un rôle prépondérant en matière purement culturelle), et le modèle européen, essentiellement public.

Les artefacts

Les artefacts — choses ou aspects de la culture matérielle — dérivent des valeurs et des normes d’une culture.
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